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Manon Bril

Patrimoine - Culture

Besançon 25000

Le 04/04/2026

Manon Bril – Rodage en mode tranquille. Tu veux savoir pourquoi les statues dans les musées ont des petites teubs ? Ce n’est pas un hasard. (Oui maintenant t’as envie de venir). Docteure en histoire, Manon Bril fait de la vulgarisation sur internet depuis 2015, et désormais sur scène pour vous expliquer que rien n’a « toujours été comme ça ». Par exemple à Rome on faisait des réunions aux toilettes. Pardon mais c’est un autre monde que le nôtre, ça. Si, déso pas du tout déso. Ou alors on va pas aux mêmes soirées. Bref, le parcours de l’humanité n’a aucun sens.

photo Festival de musique de chambre - Elisabeth Leonskaja

Festival de musique de chambre - Elisabeth Leonskaja

Musique, Musique classique

Arcachon 33120

Le 19/04/2026

À bientôt 80 ans, Elisabeth Leonskaja, soliste internationale parmi les plus acclamées, nous propose un voyage dans des contrées bien diverses. Pour débuter, Mozart et sa « Sonate K.576 ». Eté 1789, Mozart souhaitait composer six sonates faciles pour piano pour la princesse Friederike de Prusse. Seule la « Sonate K.576 » vit le jour. Loin d’être «facile», elle exige une extraordinaire dextérité. Puis Schönberg et Chostakovitch, dont le « 3ème mouvement de la sonate n°2 » évoque les styles de Bartók et Stravinsky. La soirée se terminera par l’une des œuvres les plus radieuses de Schubert. Une bouffée d’optimisme, de vitalité, et de bonheur d’exister en compagnie de l’une des plus grandes pianistes au monde ne serait-ce pas là, le programme idéal en ces temps tourmentés ?

photo Festival de musique de chambre - Elisabeth Leonskaja

Festival de musique de chambre - Elisabeth Leonskaja

Manifestation culturelle, Musique, Musique classique, Spectacle

Arcachon 33120

Le 19/04/2026

À bientôt 80 ans, Elisabeth Leonskaja, soliste internationale parmi les plus acclamées, nous propose un voyage dans des contrées bien diverses. Pour débuter, Mozart et sa « Sonate K.576 ». Eté 1789, Mozart souhaitait composer six sonates faciles pour piano pour la princesse Friederike de Prusse. Seule la « Sonate K.576 » vit le jour. Loin d’être «facile», elle exige une extraordinaire dextérité. Puis Schönberg et Chostakovitch, dont le « 3ème mouvement de la sonate n°2 » évoque les styles de Bartók et Stravinsky. La soirée se terminera par l’une des œuvres les plus radieuses de Schubert. Une bouffée d’optimisme, de vitalité, et de bonheur d’exister en compagnie de l’une des plus grandes pianistes au monde ne serait-ce pas là, le programme idéal en ces temps tourmentés ?

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